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Extraits d´interview réalisée par l´équipe de P. Bourdieu à propos de l´histoire de la trajectoire sociale de Jacques, devenu dessinateur dans un cabinet d´ingénieur conseil après avoir effectué des études secondaires dans les sections techniques.  

Portrait d´une famille de Grenoble, à partir d´une interview, réalisée par l´équipe de P. Bourdieu, du père de famille autour de ses goûts et pratiques.

Il s´agit du portrait d´une jeune infirmière française, réalisé à partir d´interviews par l´équipe de P. Bourdieu. Elle décrit ses goût, ses passions, ses pratiques,...

Description des pratiques de vie d´un avocat français de 45 ans, lui-même fils d'avocat, à partir d´interviews réalisées par l´équipe de P. Bourdieu.

Proust, cité par Bourdieu, décrit les règles et principes de vie qu´une mère transmet à sa fille.

Dans un de ses romans autobiographiques "Les armoires vides", A. Ernaux, aujourd´hui écrivain, se remet dans la peau de la jeune fille qu´elle a été, décrivant le monde tel qu´elle le percevait alors, monde de ses parents (qui tiennent une épicerie-café dans un quartier populaire), de l´école, des gens "biens".

Annie Ernaux se replonge dans ses souvenirs d´enfance et relate les moments douloureux qu´elle a vécus, non seulement avec les gens de son âge, mais aussi ceux vécus à travers sa situation familiale.

Cet article d´une revue scientifique française propose une réflexion sur le thème de la lecture" en utilisant comme cadre d´analyse, entre autres, les théories de Bourdieu.

Dans ce texte autobiographique, P.Fleutiaux raconte son expérience des dernières années de la vie de sa mère. Celle-ci venait d'une longue lignée de paysans et était devenue professeur de sciences naturelles. Le père de l'écrivain était directeur de l'Ecole Normale des instituteurs, venant lui-même d'une famille d'instituteurs.

Dans une publicité insérée dans le magazine "Time", une phrase de Coco Chanel est citée, sur fond de la photo proposée ci-après (traduction de N.Rigaux) : "Certains pensent que le luxe est l´opposé de la pauvreté. Il n´en est rien. Il est l´opposé de la vulgarité."

"Belle du Seigneur" est le récit de la passion flamboyante d´Ariane d´Auble, jeune aristocrate protestante, et de Solal, juif séducteur, ironique et grand prince. Dans cet extrait, Ariane nous présente la vie de sa tante, Valérie d’Auble, chez qui elle a été élevée après le décès de ses parents.

Cet article présente les résultats d´une étude analysant les taux différents d´accès et de réussite à l´université selon le niveau d´étude des parents.

Ce portrait est issu de l´étude menée par Bernard Lahire sur les pratiques culturelles de Français (Lahire B. La culture des individus, Paris, La Découverte, 2004, pp. 263-269).

Une campagne de presse organisée par l'association des anciens étudiants de l'UCL (Alumni UCL) propose les trois affiches suivantes, incitant à rejoindre l'association. Pour devenir adhérent de l'association, il faut payer une cotisation, donnant droit à une série d'avantages.

L´observatoire des inégalités propose des articles en ligne rédigés sur bas d´enquêtes. Dans l´article ci-joint, l´observatoire des inégalités propose une enquête sur le surpoids et l´obésité d´adolescent selon la catégorie sociale du père.

Ce titre France Culture est tiré de l'album La reproduction d'Arnaud Fleurent-Didier.

Cet extrait du roman L'élégance du hérisson raconte le rapport de Me Badoise à son chien. Il s'attarde plus précisément sur un incident survenu à la sortie de l'ascenseur.

Ces extraits du roman L'élégance du hérisson raconte la vie quotidienne d'une concierge dans son rapport aux habitants de son immeuble ainsi que dans sa passion pour la culture.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Les extraits qui suivent décrivent le rapport au travail de la mère et de deux de ses fils.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province de Flandre-Orientale). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Les deux extraits qui suivent décrivent l'intérieur des parents de l'auteur.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Cet passage décrit le spectacle de la rue en fin de journée.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Dans ce passage, Roger, le père de l'écrivain, se rend dans une vente publique pour tenter d'acheter la maison qu'il a louée pendant des années et où se trouve la boucherie et le logement de la famille. "Les deux démolisseurs occasionnels" sont le couple de bourgeois bruxellois qui a hérité de la maison suite à la mort de sa propriétaire et qui assiste à la vente.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Ce passage nous raconte ce qu'il advient chaque fois que T.Lanoye quitte la Belgique pour le Cap, où il réside une partie de l'année.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Ce passage relate les évènements entourant une commande mémorable de zakouski faite à la boucherie.

Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Le début de cet extrait décrit comment l'employé des pompes funèbres dispersa la cendres de la mère de l'écrivain le jour de son incinération. Dans la suite du passage, l'écrivain raconte d'autres souvenir qui lui reviennent par association.

Dans le supplément WE de la libre Belgique, une interview avec Agnès Cromback, présidente de Tiffany and co France Benelux (joaillerie).

L'ouvrage de P.Bourdieu, "La misère du monde", d'où est issu cet extrait, s'appuie sur une série impressionnante d'entretiens et d'observations menés par différents sociologues. Dans ce passage du livre (PP.413-417), Michel Pialoux relate sa rencontre avec un délégué syndical de la CGT (syndicat français d'obédience communiste).

Dans le supplément "Libre entreprise" de la Libre Belgique, deux journalistes nous parlent d'un chef d'entreprise, Edouard Carmignac, et de sa passion pour l'art.En plus de la présentation de son parcours par lequel commence l'article, la version papier donne les éléments suivants. "Passions Deauville Chevaux. Edouard Carmignac n'aime pas trop que l'on parle de lui. Il préfère partager sa passion principale qui est celle de l'art contemporain et du Pop Art. Mais au-delà ou derrière cela, il y a la Normandie où il puise ses racines. Ce beau gosse de 65 ans aime les chevaux qu'il monte et avec lesquels il joue au polo au champ de course de Deauville, mais aussi en Grande Bretagne. Il chasse et aime la plongée sous-marine. Il vit en célibataire au quotidien, dans sa vie privée comme dans les affaires. La liberté n'a pas de prix. Enfin, il a quatre enfants : deux filles, Maxime et Lucrèce; deux fils, Charles et Hugues."

Ce document vidéo présente une version raccourcie (40min) du film Le goût des autres d'Agnès Jaoui. Cette version se focalise sur la rencontre et l'évolution de la relation entre M. Castella d'un côté et Mme. Devaux et ses amis homosexuels, Antoine et Benoît, d'un autre.

Cet extrait concerne la critique faite par Zemmour aux textes de Grand Corps Malade. Éric Zemmour est un écrivain et journaliste politique français, ainsi qu'un chroniqueur et polémiste dans des émission télé et radio. Grand Corps Malade, est un auteur et slameur français qui a mis en lumière le style musical du slam et popularisé le genre.

Ce document présente un extrait (10 min) du spectacle "L'autre c'est moi", de Gad Elmaleh où il parle de ses rencontres avec "le blond".

Dans son supplément du WE, le Libre Belgique propose un article à propos de Maria Luisa Poumaillou, personnage du milieu de la mode parisienne.

Le document vidéo présente l'usage d'une agence de rencontre par des personnes à la recherche d'un conjoint.

Ce document est une extrait d'une enquête menée sur le rapport à l'école chez certains adoolescents.

L' écrivain, Antonio Pennacchi, qui a lui-même travaillé pendant plus de trente ans en usine,avant de reprendre des études et de devenir écrivain raconte dans ce livre l'histoire de Benassa, leader syndical de l'entreprise de câbles "Supercavi" et du collectif d'ouvriers avec lesquels il a mené différents combats. Dans cet extrait, on découvre le portrait d'un ami de Benassa dénommé Cesare et on le suit dans une réunion syndicale à Rome. La "Conique" est une énorme machine sur laquelle travaillent les ouvriers. La CGIL, la CSIL et la UIL sont trois syndicats italiens.

L' écrivain, Antonio Pennacchi, qui a lui-même travaillé pendant plus de trente ans en usine, raconte dans ce livre l'histoire de Benassa, leader syndical de l'entrerpise de câbles "Supercavi" et du collectif d'ouvriers avec lesquels il a mené différents combats. Dans cet extrait, Benassa fait son dernier discours avant de quitter l'usine après 20 ans de travail et de combat syndical en son sein.

L' écrivain, Antonio Pennacchi, qui a lui-même travaillé pendant plus de trente ans en usine, raconte dans ce livre l'histoire de Benassa, leader syndical de l'entreprise de câbles "Supercavi" et du collectif d'ouvriers avec lesquels il a mené différents combats. Dans cet extrait constitué des dernières pages du livre, le narrateur raconte comment lui-même et d'autres ouvriers vivent le départ de l'usine de Benassa qui s'investit dans un projet d'écriture et de formation universitaire.

Dans cet article du Monde, Cécile Ladjali, écrivaine et professeur de lettres dans le secondaire plaide pour une transmission à tous les enfants, en ce compris les enfants d'immigrés, des textes classiques.

Dans le magazine Week-end de l'Echo, un couple décrit l'oeuvre de l'artiste américain B.Wurtz qu'ils ont achetées et plus généralement, les oeuvres qui composent leur intérieur et quelques unes de leurs fréquentations. NB : Hugo Claus est un grand écrivain flamand, mort il y a quelques années Sur le site de Sabato, on peut lire la présentation suivante du magazine : Sabato, le magazine de luxe hebdomadaire des quotidiens d’affaires L’Echo et De Tijd. Tous les weekends, Sabato s’immisce à pas feutrés dans la vie privée d’un groupe cible difficile à atteindre de professionnels très occupés. Son lectorat est constitué de personnes ayant des moyens conséquents et se distingue par l’approche humaine du thème universel du ‘Luxe’. Sabato raconte le luxe assorti d’une histoire. Il évoque le luxe et l’entreprenariat, le luxe et la créativité, le luxe et la passion, le luxe et la responsabilité sociétale et, naturellement, le luxe, l’univers lifestyle et la détente,… Cible : consommateur avec grand pouvoir d’achat  

Dans le magazine WE de l'Echo, un journaliste interviewe Jos Rosseels, directeur d'un bureau d'architecte d'intérieur à propos d'une oeuvre de Panamarenko (grand artiste anversois contemporain) qu'il a acquise. Sur son site, le magazine se présente de la façon suivante. Sabato, le magazine de luxe hebdomadaire des quotidiens d’affaires L’Echo et De Tijd. Tous les weekends, Sabato s’immisce à pas feutrés dans la vie privée d’un groupe cible difficile à atteindre de professionnels très occupés. Son lectorat est constitué de personnes ayant des moyens conséquents et se distingue par l’approche humaine du thème universel du ‘Luxe’. Sabato raconte le luxe assorti d’une histoire. Il évoque le luxe et l’entreprenariat, le luxe et la créativité, le luxe et la passion, le luxe et la responsabilité sociétale et, naturellement, le luxe, l’univers lifestyle et la détente,… Cible : consommateur avec grand pouvoir d’achat    

Dans ce roman largement autobiographique, Edouard Louis raconte son enfance en Picardie dans une famille pauvre, découvrant son homosexualité et devant supporter de multiples brimades. L'auteur est aujourd'hui étudiant à l'Ecole Normale Supérieure, grand école parisienne très réputée. A sa sortie, le livre a été très remarqué par la critique et a fait l'objet d'une vive polémique, reprochant à l'auteur son mépris à l'égard de son milieu d'origine.

Dans cet article du supplément week end de l'Echo, le journaliste rapporte sa rencontre avec Alex Van den Bossche, ingénieur s'étant reconverti dans le domaine du conseil aux collectionneurs d'art.

Cet article décrit différents conflits autour de l'usage de l'edelweiss et plus largement, de l'appropriation du monde alpin par différentes catégories sociales.

Cet article retrace l'histoire de la création de l'escalade comme sport, en opposition avec les tenants de l'alpinisme.

Cet article rapporte l'interview faite avec Michèle Sioen, alors qu'elle vient d'être élue à la présidence de la FEB (Fédération des Entreprises de Belgique). Elément de contexte : L.Lippens, appartenant à une famille de la noblesse belge est bourgmestre du Zoute (réputée pour être la station la plus "chic" de la côte belge).

L'extrait qui suit, décrivant "l'élégant" est issu d'une série de portraits rassemblés par l'écrivaine Christine Angot dans son livre "La petite foule".

Dans cet article du supplément "Victoire" du quotidien "Le Soir", l'appartement d' Edouard Vermeulen architecte d'intérieur de formation, est présenté aux lecteurs. Après trois ans d’activités de décorateur, E.Vermeulen découvre sa passion pour la mode et présente sa propre collection en 1984. Il est aujourd'hui à la tête de Natan, une maison de couture et confectionne des tenues pour la Famille Royale de Belgique ainsi que les Cours de Suède, des Pays-Bas et du Grand-Duché de Luxembourg. Il a transformé le bel-étage d’un « hôtel particulier » en un appartement pensé dans l’atmosphère d’un grand hôtel.

Les extraits sélectionnés ici du documentaire de F.Brunnquell (à propos des petites classes moyennes en France) consacré à un ancien patron de la restauration connaissant des difficultés professionnelles (disponible sur webcampus pour les étudiants de l'UNamur), permettrent de découvrir les difficultés du pére de cette famille, de sa fille aînée et de son fils et leurs tentatives pour améliorer leur situation.

Dans ces extraits du documentaire de F.Brunnquell consacré aux classes moyennes, on suit une réalisatrice et metteur en scène dans sa vie familiale et professionnelle. (les extraits sélectionnés sont disponibles sur webcampus pour les étudiants de l'UNamur)

Les extraits du film documentaire de F.Brunnquell sélectionnés ici permettent de découvrir l'itinéraire professionnel (et dans une moindre mesure, familial) d'un chef de rayon cherchant une nouvelle orientation professionnelle. Les extraits sont disponibles sur webcampus pour les étudiants de l'UNamur.

Dans cette planche de BD, Toby Morris imagine l'existence parallèle de deux personnages, dotés de ressources bien différentes...

Dans un rap, Rocé analyse le rapport à la langue, en particulier à l'accent des jeunes de banlieue dans le contexte de leur vie. (ci-dessus, le lien vers le rap, et dans l'adresse du document, le texte retranscrit)

Ce documentaire présente l'ensemble d'initiatives qui se sont développées au départ du "Bondy Blog". Bondy est dans la banlieue parisienne. Dans le contexte des émeutes de 2005, une rédaction d'un hebdomadaire suisse, l'Hebdo, décide d'envoyer des journalistes pendant 3 mois pour travailler au contact de blogueurs de la cité. Au départ des journalistes, l'initiative qui consiste à proposer à des jeunes de banlieue d'informer autrement à propos des banlieues sur un blog (qui va être de mieux en mieux référencé) se développe. Le documentaire complet est disponible via le lien ci-dessus; les extraits directement utiles (de 27 min 37 à 33 min 5; 35 min 38 jusqu'à la fin) sont montés dans le document dont l'adresse URL est donné ci-dessous.

Didier Castino, professeur de lettres à Marseille et fils d'ouvrier raconte, dans ce premier roman, la vie d'un ouvrier, Louis Castella, mouleur syndicaliste aux Fonderies et Aciéries du Midi, mort à 43 ans d'un accident du travail. Dans sa première partie, le récit a pour narrateur Louis Castella, s'adressant de façon posthume à son plus jeune fils pour lui raconter sa vie. Dans la seconde partie du livre, c'est le jeune fils qui prend la parole. Didier Castino se défend d'avoir écrit  un récit autobiographique: il parle à propos de ce roman de "vécu transformé".

Les extraits de ce documentaire, diffusé pour la première fois sur France 2 le 15 novembre 2016 présentent le concours d'éloquence Eloquencia organisé à Saint Denis (banlieue parisienne), où s'inscrivent des jeunes issus pour la plupart de l'immigration. Le document est disponible pour les étudiants de l'UNamur sur webcampus.

Après avoir rencontré des réfugiés au camp de Calais, des journalistes les retrouvent à Londres où ils sont passés clandestinement et s'intéressent à leur parcours d'insertion. Nous suivrons en particulier les parcours de Youssef et Thaer, deux réfugiés syriens aux parcours bien distincts.  

Suite au décès de Karl Lagerfed, "star planétaire de la haute couture", Métro dresse un portrait du personnage.

Dans ce troisième roman d'Emmanuelle Richard, la narratrice analyse son expérience de la violence des rapports de classe, fait de mépris des dominants, de honte qui deviendra de la haine pour elle . Les parents de la narratrice sont de petits fonctionnaires ayant vécu en devant faire attention à toutes leurs dépenses dans un pavillon de banlieue. Elle enchaîne les petits boulots pour payer ses études tout en écrivant. Elle est en collocation avec des jeunes issus du monde des arts qu'elle évoque dans l'extrait choisi.

Dans ce troisième roman d'Emmanuelle Richard, la narratrice analyse son expérience de la violence des rapports de classe, fait de mépris des dominants, de honte qui deviendra de la haine pour elle . Les parents de la narratrice sont de petits fonctionnaires ayant vécu en devant faire attention à toutes leurs dépenses dans un pavillon de banlieue. Elle enchaîne les petits boulots pour payer ses études tout en écrivant. Dans l'extrait choisi, elle relate une rencontre avec un réalisateur célèbre auquel elle a envoyé son livre.

Dans ce troisième roman d'Emmanuelle Richard, la narratrice analyse son expérience de la violence des rapports de classe, fait de mépris des dominants, de honte qui deviendra de la haine pour elle . Les parents de la narratrice sont de petits fonctionnaires ayant vécu en devant faire attention à toutes leurs dépenses dans un pavillon de banlieue. Elle enchaîne les petits boulots pour payer ses études tout en écrivant. Dans ce passage situé à la fin de son livre , E.Richard observe comment, depuis qu'elle est "devenue un écrivain aux yeux du monde", les gens autour d'elle et elle-même changent.

A l'occasion de son passage de la présidence du Fonds Monétaire International à celle de la Banque centrale Européenne, deux journalistes ont enquêté sur le parcours et les qualités qui sont reconnues à Christine Lagarde.

Dans cet extrait d'un documentaire consacré aux individus en ascension sociale, on découvre par une interview l'itinéraire de Pauline, née à Bondy (une commune défavorisée de la banlieue NE de Paris) en 3ème année à Science Po, Paris, un établissement renommé. Les "conventions éducation prioritaire" sont des conventions que Science Po a signée avec une centaine de lycées situés en Zone d'éducation prioritaire, dont les élèves sont issus de milieux plus défavorisés que la moyenne, de façon à favoriser davantage de mixité sociale, son recrutement se faisant largement de fait dans les classes les plus privilégiées. Les meilleur.e.s étudiant.e.s de ces lycées peuvent accéder à Science Po via un examen d'entrée spécifique.

Dans cet extrait d'un documentaire consacré aux personnes en ascension sociale, on rencontre une directrice d'EHPAD (établissement d'hébergement pour personne âgée dépendante) venant d'une banlieue défavorisée et noire.

Dans cet extrait d'un documentaire consacré aux personnes en ascension sociale, un cadre dont le père était bucheron et qui, par l'école, a quitté son milieu d'origine raconte une anecdote de sa vie professionnelle.

Dans cet extrait d'un documentaire consacré aux personnes en ascension sociale, on découvre l'itinéraire d'un fil d'ouvrier, devenu électricien puis député européen.

L'extrait qui suit est issu du film "Intouchables" de Toledano et Nakache (2012),  basé sur l'histoire vraie de Philippe Pozzo di Borgo, qui se retrouve tétraplégique suite à un accident et se fait aider toute la journée par un jeune homme d'origine étrangère. Dans la scène retenue, Driss (joué par Omar Sy, dans le rôle de l'aidant) et Philippe vont à l'opéra, une première pour Driss.

L'extrait de l'article retenu décrit les difficultés des comédien.ne.s du Nord de l'Angleterre à décrocher d'autres rôles que de bas étage. Un autre exercice, analysable à la lumière de Goffman (2.58. Hello London) illustre d'une autre façon les clichés véhiculés à propos du Nord de l'Angleterre.

Dans un entretien diffusé sur France Culture à propos de son livre "Où va l'argent des pauvres", le sociologue Denis Colombi répond aux critiques souvent relayées selon lesquelles les pauvres gèreraient mal leur argent. vocabulaire : les "agios" sont les frais perçus par une banque pour le fonctionnement d'un compte, qui sont particulèrement élevés lorsque le compte est en négatif.

  Mise en situation :  Un extrait de la série The Wire (Sur écoute) où des jeunes d'une classe venant d'un quartier ghetto vont au restaurant chic avec un représentant de leur école. Les jeunes viennent des cités de Baltimore et vont à la même école. Ils et elles participent à un projet pilote visant à travailler différemment avec les élèves les plus difficiles (et à ne pas les mettre en cours). Dans ce cadre, suite à une activité, un groupe gagne une épreuve et se fait offrir un restaurant par l'un des accompagnateurs du projet qui n'est autre qu'un ancien chef de la police de Baltimore.

Fabien Truong est professeur au département de sociologie de Paris 8. Ancien professeur de lycée en Seine St Denis (une banlieue populaire), il a suivi pendant 10 ans une vingtaine d'élèves issu.e.s de l'immigration du bac à la fin de leurs études. Il a joué tour à tour le rôle de prof, enquêteur, confident et conseiller ! Irfan, que nous suivons lorsqu'il s'apprête à passer ses examens en Master 1 au sein de l'Ecole supérieure de professorat et de l'éducation, est le fils d'un pére pakistanais et d'une mère malgache qui tiennent une épicerie à la Courneuve, autre banlieue populaire de Paris.

Dans son livre "En camping car" (dont quelques extraits sont proposés), Ivan Jablonka, historien, raconte et réfléchit son expérience des vacances familiales en camping car dans les pays du pourtour méditérranéen.

Suite à la sortie de son dernier film,"L'innocent",  Louis Garrel, acteur et réalisateur, est interviewé par une journaliste dans une brasserie de son quartier parisien en fin de soirée. Il y raconte ses souvenirs d'enfance et les liens entre celle-ci et son film.

La cérémonie Les Flammes fut lancée en 2023 par les médias YARD et Booska-P (spécialistes de la culture hip-hop). Le but de cette cérémonie est de célébrer "les cultures issues des quartiers populaires et la créativité de celles et ceux qui les font grandir". La cérémonie vient combler un manque, selon les deux organisateurs de l’événement, pour lesquels les Victoires de la musique n’ont jamais réussi à réellement cerner le rap, et les sous-catégories qui lui sont associées. Alors qu’en France, ces courants se placent en tête des ventes et des écoutes en streaming. Cette première cérémonie, fut lancée par un discours piquant de l'humoriste Fary que nous analyserons dans cet exercice : https://www.youtube.com/watch?v=4hZWPqdRUS8 Voici quelques éléments de contexte permettant de mieux comprendre certaines vannes de l’artiste et de bien appréhender le contexte de la tenue de cette cérémonie. Fary mentionne les films Athena et Bac nord. Ces deux films qui ont pour lieu d’action des cités populaires françaises ont été vivement critiqués pour leurs manques de profondeur, nuance et pour le portrait exclusivement violent qu’ils en faisaient.   CNews est une chaine de télévision française dont la ligne éditoriale est franchement à droite et très conservatrice. Eric Zemmour y fut chroniqueur jusqu’à son départ en septembre 2021. Pascal Praud, mentionné par l’humoriste, en a été un animateur vedette pendant de nombreuses années. Enfin, concernant la portée de la cérémonie voici quelques citations d’articles à son propos dans les journaux français : « Le principal enjeu de cette première édition était d’ancrer cet évènement dans l’esprit du public et des professionnels de l’industrie de la musique. Mission accomplie, puisque la grande majorité des médias traditionnels ont relayé l’évènement, diffusé des images de l’arrivée des artistes sur le tapis jaunâtre, communiqué le nom des vainqueurs, et contribué à imposer l’existence des Flammes comme une évidence pour tout le monde. » Radiofrance, 12 mai 2023. « La première cérémonie des Flammes, qui entend célébrer le rap et, plus largement, « les cultures populaires », se tient, jeudi 11 mai, au Théâtre du Châtelet, à Paris. Ce « lieu statutaire et iconique », (…) marque l’académisation du hip-hop et des courants musicaux qui lui sont associés. » Le Monde, 11 mai 2023. « La place du Châtelet avait de faux airs de cérémonie des César, ce jeudi soir. Le théâtre, qui a accueilli tant de fois la cérémonie des remises de prix du cinéma français, accueillait une première : les Flammes, la première cérémonie de remise des prix du rap français et des « musiques populaires ».Comme aux Cesar, il y avait le tapis rouge et les tenues de soirée. Sauf que les stars qui défilaient devant le photocall s’appellent Tiakola, Hamza et Kalash, et que les tenues de soirée étaient pour certaines plus originales (on a vu des chaussures-pattes d’ours de la rappeuse Lala&Ce et de gros sequins noirs sur la veste de Gazo). En revanche il y a des choses qui ne changent pas : Jack Lang était là. » France Inter, 12 mai 2023

Dans cette extrait d'interview, Mouloud Achour, journaliste et chroniqueur pour Canal+, questionne Raphaël Quenard, acteur montant du cinéma français sur sa carrière : https://ladigitale.dev/digiview/#/v/65572278af4d8 

Dans cet article de "la Libre Eco", la journaliste interviewe le CEO d'une banque privée anversoise à propos du choix de sponsoriser un jeune champion de golf belge. NB : une "banque privée" gère le patrimoine de clients fortunés.

Ce premier article d'une série consacrée aux "clubs sélects" de Paris décrit quelques uns d'entre eux et leur mode de fonctionnement.

L’article à analyser est un article du journal Le Monde diplomatique écrit par Fabrice Raffin pour le numéro de juillet 2024. L’auteur est sociologue, maître de conférences à l’université de Picardie Jules-Verne et membre du laboratoire Habiter le monde. Il y critique le discours et l’attitude de certains.nes journalistes vis-à-vis des zones commerciales périurbaines françaises.

Une interview de Féris Barkat, co-fondateur de l'association "Banlieues climat" sur le média en ligne "bon pote". Sur le site : https://banlieues-climat.org/actionsAujourd’hui, Banlieues Climat s’investit dans de nombreux quartiers populaires, partout en France afin de démocratiser les connaissances sur l’environnement et la transition écologique. Par ses activités de formations, de sensibilisations et de rencontres avec le terrain, Banlieues Climat souhaite créer une dynamique politique et économique vertueuse impulsée par la société civile et qui profite à toutes les générations et toutes les strates de la société.biographie (wikipédia) Féris Barkat naît en 2002 d'un père ouvrier algérien et d'une mère marocaine. Il grandit dans la banlieue de Strasbourg et obtient un baccalauréat économique et social. Il étudie ensuite à Londres, à la London School of Economics, qu'il abandonne au cours de la deuxième année, puis intègre le Collège citoyen de France de Paris. Actif sur les réseaux sociaux et notamment sur la plateforme TikTok, il gagne en popularité au cours de l'année 2022. En décembre 2022, il cofonde Banlieues Climat avec Sanaa Saitouli, Abdelaali El Badaoui et Sefyu. Banlieues Climat est une association visant à sensibiliser les jeunes au climat et à l'écologie des thèmes qu'il estime délaissés dans les banlieues. Le 7 juin 2024, l'association signe un partenariat avec Sylvie Retailleau, alors ministre de l'Enseignement supérieur.

Dans le contexte du scrutin régional de juin 2024 à Bruxelles, un journaliste politique  a observé la place sur les listes, le score électoral et les stratégies électorales utilisées par les candidat.e.s issu.e.s de la noblesse dans les différents partis politiques.

Bloch, ami du narrateur et issu de la petite bourgeoisie, prononce erronément le mot "lift" devant un ami commun, l´aristocrate Robert de Saint-Loup. Le narrateur commente cet incident.

Les lieux publics sont de plus en plus souvent le théâtre de violences ou d´actes d´incivilité qui commencent à exaspérer nombre de citoyens. Quelles solutions apporter ? Une répression policière accrue ? Mais les sociologues ne voient pas cela d´un bon oeil.

Stéphane Béaud, sociologue, a réalisé une recherche sur l’échec dans les études universitaires en milieux populaires. Durant dix ans, il a suivi la carrière scolaire de quelques jeunes d’un quartier HLM à forte composante immigrée. L’extrait raconte leur réaction face à la proposition de l’enquêteur de les aider à réviser leurs examens.

Dans un interview, H.Rey, CEO de Havas Media Belgium explicite ce qui lui semble être les nouvelles tendances à prendre en compte dans la publicité.

Cet article du Monde présente une étude du sociologue Fabien Truong à propos des difficultés d'accès au centre de Paris pour les jeunes habitant "au-delà du périphérique". Des politiques de la ville visant à remédier à ces difficultés sont discutées.

Dans cet extrait du roman de Tom Wolfe, "Le bûcher des vanités", Sherman, riche trader à Wall Street et originaire de New York  a été cherché sa maîtresse Maria à l'aéroport. Il discute avec elle  d'un incident survenu durant son vol retour. Maria est originaire du Sud des Etats-Unis. C'est son accent du Sud qui est reproduit dans le texte (dans la version française, ce n'est bien sûr pas très parlant, d'où cette précision).

Le sociologue Nicolas Jounin a été pendant 7 ans professeur à l'université de Paris-8-Saint-Denis . Trois années consécutives, il a envoyé ses étudiant.e.s de première année en sociologie, pour la plupart originaires de Saint-Denis (banlieue populaire proche de Paris), enquêter dans le 8ème arrondissement de Paris, l'un des plus riches de la capitale. Une des consignes qu'il leur donne est d'observer pendant une heure ce qui se passe dans un même lieu. Dans l'extrait proposé, on suit trois étudiantes qui sont parvenues à entrer dans un hôtel très chic du 8ème arrondissement, puis à commander un café dans le cadre de l'observation qui leur est demandée. On découvre la façon dont elles sont traitées par le personnel de l'hôtel, regardées par les client.e.s et dont elles vivent cette expérience.

Le sociologue Nicolas Jounin a été pendant 7 ans professeur à l'université de Paris-8-Saint-Denis . Trois années consécutives, il a envoyé ses étudiant.e.s de première année en sociologie, pour la plupart originaires de Saint-Denis (banlieue populaire proche de Paris), enquêter dans le 8ème arrondissement de Paris, l'un des plus riches de la capitale. Une des consignes qu'il leur donne est d'observer pendant une heure ce qui se passe dans un même lieu. Dans l'extrait proposé, on suit deux étudiant.e.s installé.e.s dans une café chic du 8 ème arrondissement. Après avoir été victimes de l'indifférence du serveur, iels sont interpellé.e.s par leurs voisines de table.

Dans une de ses chroniques pour le "28 minutes" sur Arte, Alix Van Pee rapporte le message sur Tik tok de la chanteuse suédoise Zara Larsson souhaitant pouvoir parler au cinéma. Les journalistes de l'émission commentent...

  "Pretty woman" est une comédie américaine devenue culte, racontant l'histoire quie se noue entre un richissime homme d'affaire, Edward et une prostituée, Vivian. Dans cet extrait du film , Edward entre avec Vivian dans un palace new-yorkais, alors qu'ils viennent de se rencontrer. Une comparaison peut être faite entre cet extrait et celui proposé dans l'exercie "Malaise au palace" du point de vue de la liberté d'action et de conscience des membres de la classe populaire confrontés à un lieu de grand luxe.

Dans un article du supplément "économie" du Monde , R.Azimi décrit et tente de comprendre l'engouement actuel des grosses fortunes pour l'art contemporain.

Dans un article suivi d'une interview avec un collectionneur, la journaliste Catherine Cochard explore les raisons qui mènent les prix de l'art (en particulier contemporain) à flamber.

Dans un film tourné dans l'esprit des émissions "Strip tease", Jean Libon et Yves Hinant suivent la juge d'instruction Anne Gruwez dans son travail quotidien. Le film a reçu plusieurs distinctions et suscité diverses polémiques. Dans la scène sélectionnée, la juge d’instruction reçoit un homme d'origine turque suspecté d'avoir frappé sa femme la veille.

Dans la "chronique universités" du supplément "La libre Eco" de la Libre Belgique, deux professeur.e.s de l'Université de Mons tentent de mesurer l'impact des programmes Erasmus sur l'insertion sur le marché du travail par une étude menée auprès d'étudiant.e.s de leur université dont iels présentent les résultats. L'exercice porte sur une analyse de la vision des deux auteur.e.s du programme Erasmus et les alternatives envisageables.

Dans l'extrait (p.195-196) de ce roman partiellement autobiographique, l'écrivaine nigériane C.N.Adichie met en scène son héroïne, Ifemelu, lors d'une réception qui se donne dans la famille où elle travaille comme baby-sitter tout en étant étudiante.

Après la mise en place de l"Obamacare", les sommes récoltées par les sites de financement participatif ont énormément augmenté pour permettre à des particuliers de financer les soins requis par des maladies graves de longue durée. Cet article de Mother Jones, un journal de gauche américain publié par Le Courrier international, envisage de façon critique l'apport du crowdfunding dans le contexte du système des soins de santé aux Etats-Unis.

Ce reportage de RTS sur les adeptes de la simplicité volontaire qui ont décidé de gagner moins pour vivre mieux nous permet de découvrir les choix faits par deux couples et un homme seul de milieux différents. "La simplicité volontaire est un courant de pensée collectif et un mode de vie personnel qui nous invitent à redécouvrir qu’on peut être aussi heureux avec moins : moins de biens, moins d’argent, moins de course à la performance; mais plus de liens, plus de temps et plus d’attention pour goûter vraiment ce qu’on a la chance d’être et d’avoir." (D.Boisvert, membre fondateur du Réseau québecois pour la simplicité volontaire). Les enjeux du mouvement sont à la fois personnel, sociaux (plus de liens), écologiques (réduire la pression sur les ressources de la planète) et économiques (allant dans le sens de la décroissance).

Cet article datant de fin 2016 écrit par Edith Wustefeld et Johan Verhoeven pour le média Kairos propose une présentation des restaurants populaires de Lima, capitale péruvienne. Depuis plus de trente ans, les femmes s’y organisent contre la pauvreté. Les restaurants populaires leur permettent d’économiser, mais aussi de se rassembler. Présentation du média sur leur site : « Kairos, projet coopératif et bénévole, repose sur une équipe engagée, se nourrit d’apports divers et variés, se veut avant tout un journal d’opinion, résistant, d’ouverture et collectif. Il n’est lié à aucun parti, ni aucun syndicat. Journal promouvant les valeurs de l’objection de croissance, il défend la liberté et l’esprit critique, et par là le sens des limites et le respect de la Nature vivante. »

A la suite d'un nouvel appel à l'hébergement en famille par la Plateforme citoyenne (une association financée par des dons et l'aide des Régions) et à la publication d'un livre par des chercheur.euse.s de l'ULB, un journaliste souligne les différences entre l'accueil réservé aux personnes demandeuses d'asile en 2015, 2016, 2024 et celui organisé pour les Ukrainien.ne.s arrivé.e.s en Belgique suite à la guerre débutant en 2022 (pour plus d'informations à ce propos, voir l'exercice 5.57).  

En présentant la démarche de deux artistes intervenant dans la ville, le document permet d´interroger le rôle de l´artiste dans la ville.

Cet exercice propose d´étudier le projet d´un artiste atypique consistant à exposer des oeuvres majeures de l´art du XXe siècle dans la cité d´Albinet, quartier pauvre à proximité de Paris.

Ce long métrage raconte le périple d'un étudiant américain brillant, fraichement diplomé, promis à un grande carrière. En rejet de la société occidentale de consommation, il part à l'aventure, à la découverte de la nature et de lui-même. 

Divers sites web présentent le projet "outings" mené par l'artiste Julien de Casabianca dans différentes villes du monde : en mêlant beaux-arts et street art, l'artiste propose à qui veut de photographier une oeuvre peu connue présentée dans un musée et de l'afficher, reproduite en grand format papier dans sa ville...

Dans un article du journal suisse "Le temps" et une vidéo, nous découvrons l'installation de l'artiste suisse Thomas Hirschhorn "Gramsci Monument" construite de façon temporaire à Forest Houses, un quartier polulaire au sud du Bronx.

Dans ce court article d'un dossier du Monde diplomatique consacré aux villes, un journaliste raconte comment la destruction des cabanes montées sur les ronds-points où se rencontraient les gilets jaunes affecte l'organisation de ce mouvement social, né en 2018.