Résumé/Contexte
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Dans ce troisième roman d'Emmanuelle Richard, la narratrice analyse son expérience de la violence des rapports de classe, fait de mépris des dominants, de honte qui deviendra de la haine pour elle .
Les parents de la narratrice sont de petits fonctionnaires ayant vécu en devant faire attention à toutes leurs dépenses dans un pavillon de banlieue. Elle enchaîne les petits boulots pour payer ses études tout en écrivant. Elle est en collocation avec des jeunes issus du monde des arts qu'elle évoque dans l'extrait choisi. |
Consigne(s)
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1. Qu'est qui est considéré comme un travail pour Lukasz et ceux qu'évoque en s'en distanciant la narratrice? Qu'est-ce qui de leurs capitaux et de leur habitus permet de l'expliquer?
2. Qu'est ce qui dans l'accès aux capitaux (avec l'expérience du travail qu'il induit) et l'habitus de la narratrice l'empêche d'adhérer à cette vision du travail?
3. "(...)il m'était impossible d'envisager la cooptation sans dégoût ni stupeur à l'idée que le monde marche ainsi." A quelle ressource, de quelle classe sociale renvoie la cooptation? Qu'est-ce qui explique "le dégoût" et "la stupeur" de la narratrice? |
URL document
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documents/Désintégration travail.pdf (231 kb) |
Solution :
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aucune
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Description générale
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- Chapitre :
1. P. Bourdieu : identité et habitus de classe
- Sociologue(s) :
BOURDIEU Pierre
- Concept :
Classes sociales, Capitaux et habitus
- Thème(s) :
Culture, Classes sociales
- Média :
Extrait
- Source :
"La désintégration", éd. de l'Olivier, 2018, pp.65-66
- Références théoriques :
P.Bourdieu, "La distinction",éd. de Minuit, Paris, 1979
- Lieu décrit :
France
- Temps requis :
Entre 1 et 3 heures
- Auteur(s) de l'exercice :
RIGAUX Natalie
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