1.41."Art, sweet art?"
Résumé/Contexte |
Dans le magazine WE de l'Echo, un journaliste interviewe Jos Rosseels, directeur d'un bureau d'architecte d'intérieur à propos d'une oeuvre de Panamarenko (grand artiste anversois contemporain) qu'il a acquise. Sur son site, le magazine se présente de la façon suivante.
Sabato, le magazine de luxe hebdomadaire des quotidiens d’affaires L’Echo et De Tijd. Tous les weekends, Sabato s’immisce à pas feutrés dans la vie privée d’un groupe cible difficile à atteindre de professionnels très occupés. Son lectorat est constitué de personnes ayant des moyens conséquents et se distingue par l’approche humaine du thème universel du ‘Luxe’. Sabato raconte le luxe assorti d’une histoire. Il évoque le luxe et l’entreprenariat, le luxe et la créativité, le luxe et la passion, le luxe et la responsabilité sociétale et, naturellement, le luxe, l’univers lifestyle et la détente,… Cible : consommateur avec grand pouvoir d’achat
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Consigne(s) |
1. L'art comme capital. Identifiez les différentes façons dont l'art peut être un capital pour J.Rosseels, au travers de la manière dont il en parle. 2.Art et habitus Quels traits d'habitus de J.Rosseels transparaissent dans la façon dont il conçoit la place de l'art dans sa maison? 3. Suite à votre analyse, que pensez-vous du titre de cette rubrique de Sabato "Art sweet art" (en référence bien sûr à l'expression "home sweet home" mais que vous pouvez ici entendre au pied de la lettre)? L'art y apparait-il aussi "doux" que ce que le magazine semble l'entendre? Et si ce n'est pas le cas, quel concept de Bourdieu permet d'y voir une stratégie de la revue? Son positionnement (cf ci-dessus) peut vous aider à y voir clair. |
URL document |
documents/Art_Sweet3_4.pdf (1 Mb) |
Solution : |
aucune |
Description générale |
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