1.26. Dispersion des cendres.
Résumé/Contexte |
Dans le livre "La langue de ma mère" dont sont issus les extraits qui
suivent, l'écrivain flamand T.Lanoye, dont la renommée est
internationale, raconte la vie de sa mère qui, à la fin de sa vie, suite
à plusieurs attaques cérébrales, a perdu la parole. Les parents de T.Lanoye tenaient une boucherie dans un quartier populaire de St Nicolas (province d'Anvers). Son père était issu lui-même d'une famille de bouchers. Sa mère venait d'une famille d'entrepreneurs; trilingue, elle avait commencé par travailler comme secrétaire de direction dans une entreprise de jute à Lokeren ; après son mariage et un premier enfant - elle en aura cinq - elle abandonne son travail à l'extérieur pour aider son mari à la boucherie (pour faire certaines préparations, servir au comptoir et faire les comptes). Son hobby est le théâtre amateur; elle joue dans la troupe locale de son quartier. Le début de cet extrait décrit comment l'employé des pompes funèbres dispersa la cendres de la mère de l'écrivain le jour de son incinération. Dans la suite du passage, l'écrivain raconte d'autres souvenir qui lui reviennent par association. |
Consigne(s) |
1. Quels traits d'habitus des parents de l'écrivain apparaissent dans chacune des trois situation évoquées : la dispersion des cendres, l'achat du lave-vaisselle (quels traits d'habitus expliquent son non-usage?), l'embauche d'une femme de ménage ( quels traits d'habitus expliquent le curieux usage qui en est fait?) 2. Comment l'écrivain se situe-t-il par rapport à ces dispositions parentales ( il s'agit de prendre en compte son habitus comme système de classement)? 3. Comment expliquer ces traits de l'habitus des parents et du fils écrivain? |
URL document |
documents/Lanoye 7.pdf (1 Mb) |
Solution : |
aucune |
Description générale |
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