Résumé/Contexte
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Dans ce troisième roman d'Emmanuelle Richard, la narratrice analyse son expérience de la violence des rapports de classe, fait de mépris des dominants, de honte qui deviendra de la haine pour elle .
Les parents de la narratrice sont de petits fonctionnaires ayant vécu en devant faire attention à toutes leurs dépenses dans un pavillon de banlieue. Elle enchaîne les petits boulots pour payer ses études tout en écrivant. Dans l'extrait choisi, elle relate une rencontre avec un réalisateur célèbre auquel elle a envoyé son livre. |
Consigne(s)
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1. Pourquoi (en fonction de l'accès aux capitaux, de l'habitus qui les caractérisent), le réalisateur à succès peut-il dire "les ventes, on s'en fout" et elle ne pas adhérer à cette idée?
2. Quel concept de Bourdieu permet-il de comprendre que la narratrice ne fasse pas part de son désaccord à son interlocuteur? Comment prend-elle sa revanche?
3. Quelle facette de la définition de l'habitus explique que les gens comme le réalisateur n'imaginent pas que ce qu'ils considèrent comme "des boulots de merde" pourraient constituer leur avenir? |
URL document
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documents/les_ventes_on_s_en fout.pdf (71 kb) |
Solution :
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aucune
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Description générale
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- Chapitre :
1. P. Bourdieu : identité et habitus de classe
- Sociologue(s) :
BOURDIEU Pierre
- Concept :
Pouvoir et violence symboliques, Classes sociales, Capitaux et habitus
- Thème(s) :
Culture, Classes sociales
- Média :
Extrait
- Source :
"Désintégration", éd. de l'Olivier, 2018, pp.95-96
- Références théoriques :
P.Bourdieu, "La distinction", éd. de Minuit, 1979
- Lieu décrit :
France
- Temps requis :
Entre 1 et 3 heures
- Auteur(s) de l'exercice :
RIGAUX Natalie
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