4.55. Sauver la planète, une responsabilité individuelle?
Résumé/Contexte |
Des extraits de deux études permettent de réfléchir à la portée, aux limites et aux risques des gestes écoresponsables posés par les individus. Dans le texte d'E.De Bouver, "l'écologie du quotidien" ou "l'écocivisme" recouvre un ensemble de pratiques individuelles soucieuses de réduire leur impact sur les ressources collectives (en particulier, leur empreinte carbone) telles qu'une alimentation végétarienne, le zéro déchet, la mobilité douce,... Le mouvement des "colibris" a été lancé par de Pierre Rabhi autour de l'idée que la transformation personnelle est fondamentale pour changer la société, dans le sens d'un plus grand respect de la planète. Il s'inscrit dans les pratiques "écociviques" définies ci-dessus. |
Consigne(s) |
1. Weber 1.1. Quel(s) type(s) d'action rationnelle caractérisent les individus s'inscrivant dans une "écologie du quotidien" (ou pouvant être décrits comme "colibris")? Utilisez ce qui est dit de leurs pratiques et de leurs discours mais aussi les critiques qui leurs sont faites (reflétant ce qu'il.elle.s ne prennent pas en compte). 1.2. Les préoccupations des rédacteur.trice.s des deux textes relèvent-elles de ce que Weber attend d'un "homme d'action" (à savoir, combiner les deux types de rationalité)? 2. Godbout 2.1. Dans quelle logique les "colibris" et autres "écologistes du quotidien" risquent-il.elle.s de moins s'engager? 2.2. Quelle(s) logique(s), articulée(s) de quelle façon sont considérées par les auteurs du second texte comme à même de lutter efficacement contre le réchauffement climatique? 2.3. Quelle critique faite au MAUSS se révèle ici pertinente? 3. Sennett Quel(s) concept(s), associé(s) à quel(s) espaces (intérieur? extérieur?), permet(tent) de rendre compte de certaines limites des pratiques des "écocivistes" pointées par E. De Bouver? |
URL document |
documents/colibris fin.doc (522 kb) |
Solution : |
aucune |
Description générale |
|
Signaler un problème sur cette page |