Consigne(s)
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- Montrez que, dans ce récit, on a affaire à des transformations de cadres (Nizet et Rigaux, p. 65-68) ; précisez si ces transformations sont de l’ordre de la modalisation ou de la fabrication.
- Illustrez à partir du même matériau la notion de rupture de cadre (id., p. 71). Prenez en compte notamment les dimensions suivantes de ce concept : le fait que l’acteur est, pendant un temps, dépourvu d’indications quant à la manière de percevoir la situation et de s’y comporter ainsi que le caractère pénible de l’expérience.
- Illustrez également, à partir du même matériau, la fonction générale que remplissent les cadres selon Goffman, à savoir orienter les perceptions et les comportements des personnes (id., p.71-72). Montrez que ces perceptions et/ou comportements sont liés, du point de vue des acteurs, à des enjeux importants.
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Quelles sont les circonstances qui amènent, dans le cas qui nous occupe, la rupture de cadre ? Les acteurs pourraient-ils se comporter différemment en vue d’éviter, ou au moins de réduire, cette rupture de cadre ?
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URL document
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documents/controle_chomeur_materiau.doc (20 kb) |
URL solution
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documents/controle-chomeur-corrige1.doc |
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- Avec tous nos remerciements au journal Le Soir
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Description générale
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- Chapitre :
2. E. Goffman : une identité produite dans l'interaction
- Sociologue(s) :
GOFFMAN Erving
- Concept :
Cadre, Ligne de conduite, Travail de figuration
- Thème(s) :
Gestion des ressources humaines
- Média :
Texte
- Source :
Le Soir, 14 juin 2005
- Références théoriques :
E. Goffman, "Les rites d'interaction", éd. de Minuit, Paris, 1974.
E. Goffman, "La mise en scène de la vie quotidienne. 1 et 2", éd. de Minuit, Paris, 1973.
J. Nizet et N. Rigaux, "La sociologie de E.Goffman", La Découverte, Paris, 2005.
- Lieu décrit :
Belgique
- Temps requis :
Entre 1 et 3 heures
- Auteur(s) de l'exercice :
JEAN NIZET
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