3.59. Ce que le coronavirus dit de nous
Résumé/Contexte |
Dans cet article du New York Times (repris par le Courrier international), le philosophe Michael Warder réfléchit à ce que la crise sanitaire du coronavirus et les manières d'y faire face nous apprennent de nos façons de vivre ensemble. |
Consigne(s) |
1. Analysez la première partie de l'article (jusqu'avant le § "la mondiale souveraineté du virus"). Déjà avant la pandémie mais aussi dans les "mesures préventives mises en place", quel type de lien social sert de référence implicite? 2. Quelles caractéristiques, issues de quel type de lien social permet à l'auteur de caractériser le virus et la manière dont il affecte nos sociétés? (2ème partie de l'article, à partir du § "la mondiale souveraineté du virus")? 3. En étant attentif.ve aux connotations des termes utilisés par l'auteur pour décrire les deux modes de fonctionnement que vous aurez analysés ci-dessus et en prenant en compte le type de solution qu'il semble dessiner (dernier §, complété par le point de vue de Will Hunton - fin du document), comment l'auteur se situe-t-il normativement par rapport aux deux liens sociaux conceptualisés par Tönnies? Partage-t-il le biais qui a été reproché à Tönnies (cf 1ère critique)? |
URL document |
documents/Ce que le coronavirus dit de nous.doc (118 kb) |
Solution : |
aucune |
Description générale |
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